LES ROMS DE ROUMANIE ET DE FRANCE...

LES ROMS DE ROUMANIE ET DE FRANCE...

Messagepar christine » Mer Sep 01, 2010 8:24 pm

EXTRAITS DES OPINIONS PRESENTEES SUR LA LISTE DE DISCUSSIONS DE
<onlineRo - La Roumanie pour les amis - Romania pentru prieteni>

1.1. Re: Cherche à relancer le groupe de discussion
Envoyé par : "Adi Mindruta" adi.mindruta@gmail.com adi_din_buzau
Mercredi 1. Septembre 2010 11:37

Militzer Brigitte wrote:

>Connaissez-vous les campements de Roms dans les villages Roumains, où on essaie de les cacher tellement c'est misérable pour la vue... Et il n'y en a pas qu'un. Je crois que vous avez survolez ce pays, votre avion a dû oublier de se poser en Roumanie.
> Brigitte


Les tsiganes de Roumanie font les extremes de la societe en matiere de richesse-pauvrete.

Il y a des palais construits par des tsiganes avec l'argent accumule par leurs enfants comme mendiants en France et ailleurs en Europe.A cote de ces palais il y a de pauvres maisons ou les possesseurs des palais habitent avec leur clan!
Ils n'habitent pas le palais, le palais est seulement pour qu'il soit admire par les autres! Pure vanite!

Il y a aussi des tsiganes tres pauvres qui vivent en misere dans les villes et les villages de Roumanie.
Ils preferent cette vie, par tradition, ils evitent l'ecole (ou ils vont seulement pour ne pas perdre l'aide social pour les enfants,mais souvent ils preferent d'envoyer leurs enfants a mendier, plutot qu'a l'ecole).
S'ils trouvent du travail, il resistent tres peu par travailler, parce qu'ils preferent etre independants et le travail comme employee ne semble pas etre sur leur profile psychologique...

Les europeens sont faches quand ils entendent des discriminations sur les tsiganes en Roumanie, mais ils ne voient pas que les tsiganes se discriminent eux-memes, pour acquerir les finances de l'UE sans travail.

Bien sur, seulement les plus eleves des tsiganes ont acces a ces finances. Les plus pauvres preferent de venir en France, vivre dans une tente, mendier, et puis accepter 300 Euros ou meme une vache pour revenir en Roumanie,
mais decides de retourner en France le lendemain...

Sarkozy aide les mendiants de gagner plus en France, et sans mendier, non plus travailler! :D

Mais je ne suis pas la plus informee personne sur ce sujet.

Visitez la Roumanie et les banlieues ou les villages des tsiganes, et vous comprendrez.

A bientot,
AdiM

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6. Les Roms et la France
Envoyé par : "Paul" nicecastings@yahoo.fr nicecastings
Mercredi 1. Septembre 2010 13:44

[http://votremaisonamadagascar.hautetfort.com/album/daniel_tramzal/thumb\-image_3.jpg]
[http://www.larousse.fr/encyclopedie/data/vignettes/1309336.jpg]

La France "doit respecter les règles" concernant la protection des citoyens européens, suite de l'article en cliquant sur ce lien en dessous :
http://franceroumanie.blog4ever.com/blo ... 67599-expu\ltions_des_romes__la_france_doit_respecter_les.html
<http://franceroumanie.blog4ever.com/blog/articles-cat-426009-467599-exp\ultions_des_romes__la_france_doit_respecter_les.html>
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7. arguments sécuritaires non valides
Envoyé par : "jubyz" jubyz@yahoo.fr jubyz
Mercredi 1. Septembre 2010 13:46
Roms/sécurité: Bucarest pas d'accord
AFP
31/08/2010

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/ ... accord.php

Les arguments sécuritaires invoqués par la France pour justifier les renvois de Roms "ne sont pas valides", a déclaré le numéro deux de la diplomatie roumaine, Bogdan Aurescu, à l'issue d'une réunion avec la commisssaire européenne à la Justice, Viviane Reding. "L'argument d'une atteinte à la sécurité publique invoqué par la France n'est pas valide d'après les données dont nous disposons", a déclaré à l'AFP M. Aurescu depuis Bruxelles.

Selon lui, les chiffres fournis par les autorités françaises concernant la déliquance montrent que "seulement 708 ressortissants roumains étaient emprisonnés l'année dernière en France pour purger une peine". "Seulement 1,2% du total des personnes accusées en France (et non condamnées) sont des citoyens roumains", a-t-il ajouté, précisant que la plupart étaient accusés d'actes de petite délinquance.

"Vu qu'aucune des 500 personnes rapatriées jusqu'ici n'avait de casier en Roumanie ou en France, il ressort que leur reconduite s'est faite en vertu de la suspicion d'une délinquance future, ce qui enfreint la présomption d'innocence", a ajouté M. Aurescu. Le ministre de l'Intérieur français Brice Hortefeux avait justifié lundi le tour de vis sécuritaire français en affirmant que les actes de délinquance perpétrés par des Roumains, à Paris, avaient augmenté de 259% en 18 mois.
christine
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ANALYSE DE CRISTIAN DAN PREDA

Messagepar christine » Ven Sep 03, 2010 9:15 pm

Analyse de Cristian Dan Preda
"Un problème à gérer avant tout au niveau national"
http://www.tv5.org/cms/chaine-francopho ... -Preda.htm

Eurodéputé roumain, Cristian Dan Preda appartient au groupe du Parti Populaire Européen (Démocrates-Chrétiens)
03.09.2010Propos recueillis par Marie-Capucine DissDans les discussions en cours à l'occasion des reconduites à la frontière de Roms par l'administration française, assiste-t-on à une lutte entre différents groupes ?

Il y a d'abord un débat droite-gauche, aussi bien au Parlement européen que dans les pays, comme on le voit en France. Il y a aussi un débat entre les pays qui sont destinataires des flux migratoire, comme la France, l'Italie et l'Espagne, et les pays de départ comme la Roumanie et la Bulgarie. Ces flux migratoires ne datent pas d'hier.

Ce qui est nouveau, c'est qu'il y a une composante clé liée à une minorité, la plus importante d'Europe en nombre, les Roms. A l'échelle de l'Europe, la communauté rom est la plus démunie socialement, mais aussi politiquement. C'est une communauté mal représentée, aussi bien à droite qu'à gauche. C'est le cas en Roumanie. La minorité hongroise y est aussi importante que la minorité rom. Les Hongrois ont obtenu 7 à 8% des sièges au Parlement, alors que les Roms n'ont qu'un seul représentant, sur les 469 députés.

Au delà de la polémique politique, des querelles droite-gauche, ou entre pays européens, ce qui est c'est que l'on se préoccupe du sort de cette minorité. Je pense que c'est le bon côté de ce débat. J'ai une expérience avec les ONG qui s'occupent de la problématique rom. Ces organisations tentent depuis des années et des années d'obtenir le droit à la parole, non seulement au plan national, mais aussi à l'échelle européenne. L'important, c'est de prendre conscience de la difficulté de ce problème et de déterminer les responsabilités d'un côté national et européen.

Pourquoi est-il si difficile de prendre correctement en compte les Roms?

Il y a une certaine expérience dans des pays comme la Roumanie, la Bulgarie ou la Hongrie. Certaines initiatives politiques ont été couronnées de succès, d'autres non. Il reste encore des gros problèmes à régler.

Le premier, c'est l'accès à la citoyenneté. Il y a encore des roms qui ne se déclarent pas comme tels, qui n'ont pas de papiers et qui, arrivés à l'âge adulte, n'ont jamais été enregistrés. C'est un problème très préoccupant. Il y a un aspect culturel à prendre en compte. Les gens ne déclarent pas leurs enfants et donc il faut que les autorités aillent vers ces communautés pour les enregistrer. Mais ça ne fonctionne pas toujours.

Deuxièmement, il y a un problème d'accès de ces citoyens à l'éducation et à la santé, tout cela dans un contexte, par exemple en Roumanie, de fragilité économique. Il s'agit d'économie en transition, de société en refondation. Parfois, l'accès à l'éducation y est difficile, et encore plus pour des communautés marginalisées.

Troisièmement, il faut le reconnaître, il y a parfois une discrimination violente vis-à-vis de ces populations. Par exemple, en Roumanie, il y a encore des écoles où existe la ségrégation vis-à-vis des Roms. Il faut dire que cette stigmatisation est doublée par un comportement nomade, qui n'est pas majoritaire mais qui existe aussi. Parfois, les membres de cette communauté sont restés nomades, au nom du droit au respect de la différence. Ce qui va à l'encontre de l'intégration et de la stabilisation, qui sont pour une écrasante majorité des européens le secret de la modernisation.

Il s'agit donc de communautés marginales qui, portant un stigma, refusent parfois de s'associer à une vie commune. C'est ici que se situe le coeur du problème.

Comment faire pour améliorer la prise en compte des Roms?

La responsabilité nationale est très claire. La question doit avant tout être gérée au niveau national, mais aussi dans ce dialogue politique entre les Etats. Et ensuite, si l'Europe peut également s'impliquer, on doit trouver les solutions pour gérer le sort de cette communauté.

Il faut voir aussi comment gérer ce devoir d'insertion dans les communautés d'origine et la liberté de circulation. On ne peut pas la limiter, surtout si on parle de cela dans un pays ex-communiste, qui a connu la limitation de la liberté de mouvement, ça serait de l'absurdité maximale.

C'est pour cela que nous ne sommes aucunement d'accord avec l'idée de limiter l'accès à l'espace Schengen pour les Roumains et les Bulgares en utilisant ce contexte. Cela serait "enflammer la tension" et créer plus d'intolérance, ce qui ne résout pas le problème de l'intégration des différentes communautés défavorisées.

Il ne faut pas cacher l'autre partie de la réalité. Il y a des milliers de médecins ou de professeurs, d'origine roumaine, qui travaillent à l'étranger, sur la base de ces libertés de mouvement et sur le libre-accès au marché européen, et qui ont réussi à construire leur vie ailleurs que dans leur pays d'origine. C'est un peu ça l'Europe...
christine
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ANALYSE D'HELENE FLAUTRE

Messagepar christine » Ven Sep 03, 2010 9:18 pm

Analyse d'Hélène Flautre
"Un défi pour le projet européen et sa crédibilité"

http://www.tv5.org/cms/chaine-francopho ... lautre.htm

Eurodéputée française, Hélène Flautre appartient au Groupe des Verts/Alliance libre européenne. Elle appartient à la Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures
03.09.2010Propos recueillis par Marie-Capucine DissLors d'une de vos déclarations, vous avez avancé que 25 % des Roms en Europe étaient victimes de discrimination...

C'est un chiffre tiré d'un rapport de l'Agence des droits fondamentaux de l'Union européenne. Il permet de montrer que ceux qui sont désignés à la vindicte populaire comme étant responsables d'insalubrité publique et de criminalité sont en fait probablement la minorité la plus discriminée d'Europe. C'est ce renversement de victime à bouc-émissaire que ce chiffre éclaire.

Il n'y a pas beaucoup de pays qui sont protecteurs pour les minorités et pour les Roms en particulier. Les Roms, ce sont les rapports à la fois du Conseil de l'Europe et de l'agence des droits fondamentaux qui le disent, cumulent les discriminations au logement, à l'éducation, à l'emploi, à l'accès aux soins de santé de base.

Je crois que c'est un défi pour l'Europe, pour le projet européen, pour sa crédibilité aussi, d'être capable de réaliser enfin les engagements qui ont été énoncés lors des deux sommets européens consacrés à l'intégration des Roms, c'est-à-dire d'avoir une stratégie coordonnée, cohérente et efficace à l'échelle de toute l'Europe. Je souhaite que l'on puisse construire cette stratégie européenne à partir des meilleurs exemples.

De quels exemples peut-on selon vous s'inspirer?

Il n'y a pas de pays où les Roms ne subissent aucune discrimination. Il y a ici ou là des exemples prometteurs. Par exemple, dans le domaine de l'éducation, en Catalogne, il y a beaucoup de villes qui accueillent les enfants en bas âge des familles roms pour qu'ils ne soient pas associés aux opérations de mendicité dans la rue. Le fait que des garderies soient ouvertes, cela fonctionne très bien.

Les familles font confiance à des structures publiques. Et ensuite, le passage à la scolarisation s'opère de manière beaucoup plus facile. En Angleterre, il y a également des réussites dans le domaine de l'éducation et de la scolarisation. Le système britannique s'appuie sur la reconnaissance de la diversité linguistique et culturelle, il y a des classes où l'enseignement est donné en romani.

De ce point de vue, je trouve la position de la France parfaitement hypocrite, puisque son discours, c'est :"Ecoutez, il ne peut pas y avoir de discrimination à l'égard des Roms, puisque nous ne reconnaissons pas les minorités". C'est vrai d'ailleurs, la France n'a pas ratifié la convention du Conseil de l'Europe sur le droit des minorités.

Quels sont les enjeux des échanges actuels entre la France et l'Europe?

Ce qui est en question aujourd'hui c'est bien sûr la protection de ces populations, la jouissance effective de leurs droits de citoyens européens, y compris de leur liberté de circulation, mais c'est aussi plus profondément, je crois, le projet européen lui-même.

Il faut comprendre que les ministres qui se réuniront à Paris vont avoir en tête d'utiliser les restrictions à la circulation des Roms pour en quelque sorte mettre en place de nouvelles restrictions à la liberté de circulation en général.

Leur pari, c'est que ce qui est engrangé aujourd'hui sur les Roms puisse l'être demain pour n'importe quel autre citoyen européen. Il s'agirait alors d'une régression pour la construction d'un espace commun européen de circulation, d'installation, de travail, ex caetera. Cela me paraît particulièrement dangereux.

Assiste-t-on à un bras de fer entre la France et l'Europe?

Il ne peut pas y avoir de bras de fer. Le droit européen s'applique à tous les Etats membres. La France veut faire croire qu'elle respecte le droit européen, comme par exemple la directive sur la non discrimination d'origine ethnique ou raciale de 2000.

On peut faire des acrobaties discursives, mais je constate qu'elles ne sont pas convaincantes. Les tribunaux en France commencent à le montrer clairement. Plusieurs arrêtés de reconduite à la frontière concernant des dizaines de personnes ont été annulés par le Tribunal administratif [à Lille, le 31 août 2010, sept arrêtés de reconduite à la frontière ont été annulés, NDLR].

Le gouvernement français joue avec les bordures du droit et contre l'esprit et la lettre des traités et des directives européennes.

Si vous voulez parler de bras de fer, il se joue entre certains gouvernements qui voudraient restaurer les souverainetés nationales, pour des raisons purement populistes d'ailleurs, et les acteurs qui pensent que les garanties en terme de droit, de démocratie, seront et doivent être poursuivies à l'échelle européenne.

L'Europe va-t-elle jouer un rôle d'arbitre?

Personnellement, je n'ai pas l'assurance absolue que la Commission européenne va tenir avec rigueur jusqu'au bout son rôle de gardienne des traités. On sait bien dans quelles conditions son président, monsieur Barroso, a été reconduit à la tête de la Commission. On connaît aussi la majorité politique au sein du Parlement européen et la majorité politique des gouvernements européens. Il faut donc être extrêmement vigilant.

J'attends de ce débat que l'on puisse obtenir de nouvelles garanties et avancées en matière de citoyenneté européenne et d'égalité des droits. C'est fondamental si nous ne voulons pas nous laisser aller sur la pente glissante qui nous est proposée aujourd'hui par le gouvernement français.
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La France n'est désormais plus crédible et «isolée» ???

Messagepar christine » Lun Sep 20, 2010 8:58 am

Les éditorialistes estiment que la France n'est désormais plus crédible et «isolée»...
http://www.20minutes.fr/article/598190/ ... t-europeen

Cette fois, cela ne passe pas. Alors que jeudi matin, la presse française tentait de garder un semblant de neutralité dans la lutte qui oppose depuis quelques semaines la France aux institutions européennes à propos de la politique d'expulsions massives des Roms par la France, les éditorialistes s'inquiètent ce vendredi du «clash magistral» survenu jeudi après-midi entre Nicolas Sarkozy et l'Union européenne (UE), estimant que Paris se retrouve «isolé» et a subi une perte de crédibilité. «Officiellement, le locataire de l'Elysée était venu clarifier le débat sur les expulsions de Roms. Il a finalement provoqué un clash magistral, au cours duquel il n'a même pas été soutenu - contrairement à ce qu'il dit - par ses homologues», écrit Philippe Waucampt dans le Républicain lorrain. Une analyse reprise par nombre d'éditorialistes des quotidiens régionaux. «Sarkozy et Berlusconi contre le reste du monde!» Jean-Claude Kiefer, dans les Dernières Nouvelles d'Alsace, qualifie le Conseil européen de «foire d’empoigne», parlant de «prise de tête entre Nicolas Sarkozy et José Manuel Barroso», le président de la Commission européenne. «La circulaire ministérielle du cabinet Hortefeux désignant nommément la minorité ethnique des Roms a fait plus qu’empoisonner ce Conseil européen», poursuit-il. «Elle a isolé la France» dont le «crédit politique souffre désormais de sérieuses entames... à cause de réactions précipitées et électoralistes.» Pour François Martin, du Midi Libre, le sommet européen a dégénéré en «crise majeure» plaçant la France «au centre d’une polémique internationale». Selon Bruno Dive de Sud-Ouest, Nicolas Sarkozy en ressort ainsi «secoué et isolé». «Que seul Berlusconi ait volé à son secours en dit long sur sa situation et sur la qualité de ses alliés», ajoute-t-il. «Sarkozy et Berlusconi contre le reste du monde! A la fin, toujours, les grands esprits se rencontrent», ironise encore Gilles Debernardi dans le Dauphiné Libéré. «Ras-le-bol contre le style Sarkozy» Patrick Fluckiger, de l'Alsace, juge pour sa part que les tensions survenues jeudi à Bruxelles sont le signe d'un «ras-le-bol contre le style Sarkozy». «Les rodomontades du président français, les libertés prises avec le droit européen dans la fameuse circulaire du 5 août, qui visait explicitement les Roms, ne passent plus», explique-t-il. Avec un peu plus de mesure, Pierre Rousselin estime enfin dans les colonnes du Figaro qu'il est «regrettable qu’une controverse suscitée par l’application de la loi dans un pays membre ait monopolisé tant d’énergies alors que la place de l’Europe dans le monde est menacée». L'éditorialiste enfonce le clou en assurant que «la polémique entre la Commission européenne et la France n’empêchera pas la poursuite des démantèlements de camps illégaux de Roms».
christine
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